Dreaming under an old tree...

Marissa avait traîné toute l'après-midi dans les rues, elle arriva au parc et repéra un vieil arbre sous lequel elle alla s'allonger. Elle croisa ses bras sous sa nuque et ferma les yeux...Elle avait besoin de réfléchir aux évènements de ces 2 derniers jours...
Elle ne s'était jamais sentie aussi bizarre, elle était pourtant si bien avec lui, tout lui paraissait plus simple, elle était simplement heureuse dans ses bras, en sécurité, rassurée...Elle avait totalement craqué au moment même où il l'avait abordé...
Mais d'un autre côté c'était un prof et ils avaient tous les deux une longue liste de conquètes, de coups d'un soir et un solide passé de dragueurs...
Elle avait peur de souffrir. Sa raison lui disait qu'elle faisait une énorme connerie et qu'il fallait qu'elle arrète cette histoire mais son coeur...Il couvrait la voix de sa raison...Il lui disait qu'elle ne se trompait pas , qu'il fallait qu'elle fasse tout son possible pour lui...Et le coeur de Cupidon a une force de persuasion insoupçonnée...

Bon, apparement ce sujet sera celui des pensées, réflexions, déprimes et autres de votre Cop' internationale^^.


Marissa se promenait dans le parc lorsqu'elle reconnu l'arbre. Elle avait besoin de se remettre de l'excitation de ces derniers jours et se souvint de l'apaisement provoqué par le vieux pin. Elle retourna s'allonger à son ombre et ferma les yeux. Elle avait désormais eu la réponse à sa question, elle avait fait le bon choix mais était malgrés tout encore un peu perdue. Bien que ce soit tout nouveau pour elle, elle était sûre de ses sentiments envers Dean mais ne savait pas comment le lui prouver. Elle avait beau l'aimer de tout son coeur, ils continuaient à se chercher et, quand ils se trouvaient, autre chose faisait qu'ils se perdaient. Cette situation l'énervait mais lui prouvait aussi que la routine ne s'installerait jamais entre eux. Les déclarations, les crises de jalousie, les réconciliations, s'enchaînaient depuis le début. Elle cherchait un moyen de lui faire comprendre à quel point il comptait pour elle quand elle eu soudain une idée. Elle sortit le bloc de papier qui l'accompagnait toujours et commença à écrire. Puis elle se leva et partit.